Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
projet pour la france
projet pour la france
Derniers commentaires
17 septembre 2019

ces migrants n ont rien à faire en France: tolérance zéro pour l immigration

il faut les renvoyer dans leur pays par bateaux militaire

tolérance zero pour l'immigration et les collabos à migrants

Un millier de migrants étaient en cours d'évacuation mardi matin du campement de Grande-Synthe (Nord), une nouvelle opération de mise "à l'abri" selon les autorités, jugée insuffisante par les associations qui prévoient d'ores et déjà leur retour rapide.

Les alentours du gymnase mis à disposition par la ville de Grande-Synthe, où vivaient ces migrants, ont été bouclés avant 07H00 par les forces de l'ordre, et deux premiers bus ont quitté les lieux vers 08H30. A leur bord: des jeunes hommes essentiellement, portant leurs bagages. Familles et enfants ont suivi, empruntant un cordon de sécurité formé de barrières.

Les migrants, majoritairement des Kurdes irakiens, vivaient à la fois dans ce gymnase et aux abords immédiats, dans des tentes qui commençaient à être démontées par les services municipaux.

Selon le constat d'huissier produit par la mairie de Grande-Synthe en août devant le tribunal administratif de Lille, 170 personnes se trouvaient début août à l'intérieur et 800 autres dans environ 550 tentes. 

Elles devaient être acheminées vers différents centres d'hébergement, principalement en région Hauts-de-France, dans lesquels ils "se verront proposer un accompagnement individuel", a indiqué la préfecture dans un communiqué.

"Localisation de Grande-Synthe ( AFP / )"Localisation de Grande-Synthe ( AFP /  )

Localisation de Grande-Synthe ( AFP / )

Elle rappelle que cette "mise à l'abri" fait suite à une ordonnance du tribunal administratif de Lille du 4 septembre, saisi en référé par la mairie. La justice avait notamment pointé des "graves problèmes de sécurité publique" et de "salubrité".

Ce gymnase avait été ouvert aux migrants en décembre 2018 par la mairie pour héberger des migrants, comme elle l'avait fait l'hiver précédent. Il devait initialement fermer à l'arrivée du printemps.

Au début de l'été, la préfecture du Nord avait dû installer, sur injonction du Conseil d'État, des points d'eau, douches et sanitaires à proximité, en nombre insuffisant selon les associations.

- "Ils vont vite revenir..." -

L'hiver 2017, l'ancien maire Damien Carême (EELV), devenu député européen, avait déjà mis cet équipement à disposition des migrants. Et en mai 2018, les 400 migrants hébergés là et à proximité avaient aussi dû quitter les lieux. 

La même année, les forces de l'ordre avaient démantelé à plusieurs reprises le campement du Puythouck où vivaient des centaines de personnes.

Evacuation du campement de Grande-Synthe le 17 septembre 2019 ( AFP / FRANCOIS LO PRESTI )
Evacuation du campement de Grande-Synthe le 17 septembre 2019 ( AFP / FRANCOIS LO PRESTI )Evacuation du campement de Grande-Synthe le 17 septembre 2019 ( AFP / FRANCOIS LO PRESTI )

Satisfait que soit mis fin à "ces conditions de vie indignes", le nouveau maire de Grande-Synthe, Martial Beyaert (PS), a néanmoins dit à l'AFP sa crainte de "retours très prochainement" après cette "énième mise à l'abri". Comme en écho aux propos du ministre de l'Intérieur Christophe Castaner, qui, fin octobre 2018, après l'évacuation de 1.800 personnes du Puythouck avait affirmé sur place "la volonté de fermeté" du gouvernement pour que le campement ne se reconstitue pas "une énième fois"...

"J'ai plutôt confiance en la parole de l'Etat et sa vocation à prendre en charge ces populations", a aussi assuré M. Beyaert. Interrogé sur les mesures concrètes que la ville compte instaurer pour éviter de nouveaux retours, il a répondu: "il faut beaucoup d'information et d'accompagnement. On ne peut pas forcer les gens à entrer dans un parcours d'intégration à la française, ça passe par de l'information (...), c'est la force de l'Etat qui doit être mise en œuvre pour répondre à ces questions".

Tonalité assez similaire chez Claire Millot, secrétaire générale de l'association Salam: "personne ne souhaite voir des gens habiter comme ça, ce ne sont pas des conditions, l'hiver arrive, ils sont de plus en plus nombreux". "Mais les faire monter dans des bus pour des centres d'accueil où ils ne veulent pas aller, ça n'a pas de sens. Ils vont revenir (...). Pas forcément ici, peut-être à Calais, vers la Belgique ou plus vers l'ouest, mais leur souhait est d'aller en Angleterre", a-t-elle affirmé à l'AFP, dénonçant l'absence d'une "vision globale d'accueil".

Depuis son appartement, Michèle Blanc, 72 ans, retraitée, a vue directe sur le site: "il est beaucoup trop concentré près des habitations. Ce ne sont pas des conditions de vie! Mais ils vont vite revenir...", dit-elle aussi à l'AFP

Publicité
Publicité
16 septembre 2019

Juan Guaido photographié avec des narcotrafiquants : «Il est complètement discrédité au Venezuela»

13 septembre 2019

Trump abroge des textes anti-pollution sur les petits cours d'eau datant d'Obama

autant il est bon concernant l'immigration autant c'est une plaie concernant l environnement

https://www.parismatch.com/Actu/International/Trump-abroge-des-textes-anti-pollution-sur-les-petits-cours-d-eau-datant-d-Obama-1646977

pour rappel je suis pour le zero immigration renvoyer au bled tous les sans papiers couler les bateaux des ong collabos à migrants  et pour sortir de l agriculture productiviste 1er pollueur du monde et destructeur de l environnement et de la biodiversité

13 septembre 2019

petit rappel pétition contre l'horreur halal et casher

faite circuler la pétition pour que l etat et l union europeenne interdisent définitivement cette pratique horrible qu i n a plus lieu d'etre dans pays civilisé

https://www.mesopinions.com/petition/animaux/contre-abattage-rituel-animaux/41066

12 septembre 2019

les racailles du haut

c'est quand meme dingue le monde que nous vivons, le gars est mis en examen pour prise illegal d'interet, et ils font tous bloc avec lui .... c'est incroyable ... ce 21eS est une farce, les corrompus ont pignon sur rue ....

Macron est loin de d' une présidence exemplaire , vu tous les mis en examen dans son entourage ............

Emmanuel Macron maintient "toute sa confiance" en M. Ferrand" : Qui se ressemble s'assemble ... !

Bien sur, il y a la présomption d'innocence. Elle s'applique à M. Ferrand comme à tout le monde. Cependant, M. Ferrand n'est pas n'importe qui. Si il avait un peu de dignité et d'honneur, de respect pour sa fonction (au delà des nombreux avantages et prébendes...) il démissionnerait. Quitte à reprendre son poste si il est innocenté. Mais pour LaRem, honneur, dignité, respect....

La macronie fait bloc autour de Richard Ferrand mis en examen

Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand à l'Assemblée à Paris le 10 septembre 2019 ( AFP / ERIC FEFERBERG )

Le président de l'Assemblée nationale Richard Ferrand à l'Assemblée à Paris le 10 septembre 2019 ( AFP / ERIC FEFERBERG ) >La macronie faisait bloc jeudi matin autour d'un de ses piliers, Richard Ferrand, dont la mise en examen pose la question de son maintien à la présidence de l'Assemblée nationale.

Le président Emmanuel Macron maintient "toute sa confiance" en M. Ferrand , a déclaré sur Europe 1 la porte-parole du gouvernement, Sibeth Ndiaye.

C'est "un homme loyal, droit, qui a un parcours politique exemplaire", a-t-elle insisté en demandant de respecter "la présomption d'innocence".

Richard Ferrand a été mis en examen mercredi soir par un juge lillois, après près de quinze heures d'interrogatoire. Il est soupçonné de "prise illégale d'intérêts" après que les Mutuelles de Bretagne, qu'il dirigeait à l'époque, ont décidé en 2011 de louer des locaux commerciaux appartenant à sa compagne. Il conteste toute irrégularité.

Une première enquête lancée en juin 2017, après des révélations du Canard enchaîné, avait poussé M. Ferrand à quitter le gouvernement après un mois à peine. Elle avait été classée sans suite par le procureur de Brest en octobre suivant. Le parquet avait invoqué la prescription pour la prise illégale d'intérêts, et jugé que les infractions d'abus de confiance et d'escroquerie n'étaient pas constituées.

 

Richard Ferrand et Emmanuel Macron aux assises des maires bretons à Saint-Brieuc, le 3 avril 2019 ( POOL / Damien MEYER )">

Richard Ferrand et Emmanuel Macron aux assises des maires bretons à Saint-Brieuc, le 3 avril 2019 ( POOL / Damien MEYER ) class="c-image-Richard Ferrand et Emmanuel Macron aux assises des maires bretons à Saint-Brieuc, le 3 avril 2019 ( POOL / Damien MEYER )

La mise en examen d'un président de l'Assemblée nationale en cours d'exercice est une première. M. Ferrand y a réagi aussitôt en se disant "déterminé à poursuivre (sa) mission" à la tête de l'Assemblée". Il a également assuré "rester serein sur l'issue de la procédure, au regard du classement sans suite de l'ensemble des griefs de la première plainte (...), d'autant plus qu'aucun élément nouveau n'a été versé à ce dossier dans lequel il n'y a ni préjudice ni victime".

"Il n'y a pas de logique politique" à ce qu'il démissionne, a plaidé Sibeth Nidaye, car "un membre du gouvernement est nommé, un parlementaire est élu; quand on est président de l'Assemblée nationale, on est élu deux fois". L'argument a été repris à peu près tel quel par plusieurs ministres.

- Pilier de la campagne -

L'autre angle de riposte de la majorité est de souligner la présomption d'innocence. Ainsi de Stanislas Guerini, patron du parti présidentiel LREM: "Gardons-nous de confondre instruction et condamnation". "Il faut respecter la démocratie et ne pas tout confondre", a abondé la secrétaire d'Etat Marlène Schiappa.

Le député LREM Damien Pichereau parle avec le patron du parti présidentiel Stanislas Guerini le 4 juin 2019 à l'Assemblée nationale ( AFP / Lucas BRIOULET )"

Le député LREM Damien Pichereau parle avec le patron du parti présidentiel Stanislas Guerini le 4 juin 2019 à l'Assemblée nationale ( AFP / Lucas BARIOULET )Le député LREM Damien Pichereau parle avec le patron du parti présidentiel Stanislas Guerini le 4 juin 2019 à l'Assemblée nationale ( AFP / Lucas BARIOULET )

Dans l'opposition, le premier secrétaire du Parti socialiste Olivier Faure et le président de Debout la France Nicolas Dupont-Aignan ont appelé à sa démission.

Pour Christian Jacob, candidat à la présidence du parti Les Républicains, "c'est à Richard Ferrand d'apprécier la situation (...). Je reste attaché à la présomption d'innocence: une mise en examen ne vaut pas condamnation".

M. Jacob a réservé ses flèches à Emmanuel Macron. "Ce que je trouve déplacé voire choquant, c'est l'intervention du président de la République", a-t-il asséné, compte tenu de "la séparation des pouvoirs".

La mise en examen de Richard Ferrand est un coup dur pour la majorité, dont trois autres poids lourds, -François Bayrou, Marielle de Sarnez et la nouvelle commissaire européenne Sylvie Goulard- ont été entendus mardi et mercredi dans l'affaire des emplois présumés fictifs des assistants parlementaires MoDem.

En serrant pour l'heure les rangs autour de Richard Ferrand, la macronie veut protéger l'un de ceux qui étaient là au tout début de l'aventure présidentielle d'Emmanuel Macron, et qui conserve un rôle de conseiller éminent.

Cet élu du Finistère âgé de 57 ans, député socialiste de 2012 à 2017, est relativement peu connu du grand public malgré son rang de 4e personnage de l'Etat. Mais il est "le mec le plus important chez les politiques auprès d'Emmanuel", affirmait ces derniers jours à l'AFP un marcheur de la première heure, lui-même pilier de la campagne présidentielle d'Emmanuel Macron: "C'est sans commune mesure avec tous les autres. C'est le plus intelligent, le plus fin et le plus libre. C'est pour ça que ça marche avec Macron."

Publicité
Publicité
11 septembre 2019

Portraits de Macron: un rassemblement et un nouveau décrochage pendant le procès

soutient totale mini minuscule micron macron n est pas le president de la France ni des Français juste un gigolo à vieilles qui aiment le pognon

http://www.lefigaro.fr/flash-actu/portraits-de-macron-un-rassemblement-et-un-nouveau-decrochage-pendant-le-proces-20190911

Insultes : plusieurs chefs d'État ont apporté leur soutien à Brigitte Macron

l élite mondiale s'autoprotege comme les nobliaux d'europe en 1793  vivement l effondrement totale de cette pègre mondialisé  quand à la marie antoinette trogneux si elle est pas contente ben qu'elle reste chez elle au lieu de s'afficher partout

 

11 septembre 2019

zero pointé au putes en marche concernant l environnement

Sécheresse : le gouvernement annonce la construction de 60 retenues d'eau

bullshit

il serait beaucoup plus important de sortir de l agriculture productiviste  par exemple interdire les plantations de mais qui sont une véritable hérésie environnemental

bref encore un zero pointé pour ce gouvernement de merde suce boule de la fnsea

11 septembre 2019

Justice des mineurs : les grands axes de la réforme de Belloubête comme ses pieds

Justice des mineurs : les grands axes de la réforme de Belloubet

ce que j en pense:

on a pas fini d'avoir ca:guerre-des-bandes-ils-sechent-les-cours-car-leur-lycee-est-en-territoire-ennemi-

( j en profite pour dire que les enseignants ne sont pas des assistantes sociales ni des flics ni des fgentil aide educateur mais qu ils sont la pour enseigner  et pas la pour faire du gardiennage de racailles merdiques)

et ca

Ce mardi à 23h55, rue Édouard-Vaillant à Rive-de-Gier, la brigade anticriminalité (Bac) croise la route d’une voiture dont le conducteur leur semble bien jeune. Au volant, un individu né en 2003, mineur, et de fait n’ayant pas le permis de conduire.

Habitant dans le Gier, le jeune homme est connu des services de police. Il n’a pas été placé en garde à vue mais sera convoqué avec ses parents ultérieurement. « Ce n’est pas rare que l’on constate des mineurs au volant » s’inquiète-t-on du côté des forces de l’ordre.

À la fin du mois d’août, plusieurs mineurs avaient été interpellés en quelques heures par la police, alors qu’ils adoptaient une conduite dangereuse. Dans la nuit du 26 au 27 août, un jeune de 15 ans avait été contrôlé au volant d’un véhicule rue Antoine-Durafour, à Saint-Étienne, entassé en compagnie de cinq autres âgés de 13 et 16 ans. Un autre, âgé de 17 ans avait été contrôlé rue Calixte-Plotton, à Saint-Étienne.

Les services de police notent une recrudescence des conduites sans permis de conduire, plus d’une dizaine de défauts enregistrés par semaine, quand cela ne dépasse pas vingt. Un fléau qui touche surtout l’agglomération de Saint-Étienne.

pour ma part je suis pour supprimer les juges pour mineur et la meme justice pour les mineurs et enfants on est responsable de ces actes a tout age point barre mettre amende sur alloc  et camp de travail fermé pour les mineurs délinquants

ps il parait que la greluche belloubete comme ses pieds a juste oublié de déclaré la possession d'une maison aux impots

les putes en marche dans toute leur splendeur

10 septembre 2019

- Plus l'argent est cher, plus les américains empruntent

voir a 5'10

encore des cadeaux aux ultrariches

10 septembre 2019

Le député LREM Jean-Jacques Bridey se fait rembourser deux fois ses notes de frais : il plaide "l'erreur d'inattention" !!!!

ca porte le repas a 180€ à ce prix la il devait avoir du homard lol frequentait pas les routiers ou les restau à sans dents le gugusson socialiste

Le député LREM assure qu'il va rembourser les notes de frais payées deux fois, après les révélations de Mediapart lundi. 

Le député LREM du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey le 29 2018. ( AFP / PHILIPPE LOPEZ )Le député LREM du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey le 29 2018. ( AFP / PHILIPPE LOPEZ )Le député LREM du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey le 29 2018. ( AFP / PHILIPPE LOPEZ )

Le député LREM du Val-de-Marne Jean-Jacques Bridey aurait bénéficié d'un double remboursement de plusieurs de ses notes de frais en 2016 et 2017, a révélé lundi 9 septembre Mediapart. Ces notes ont été générées alors qu'l'élu était président de la Société d'économie mixrte locale d'aménagement de Fresnes (Semaf) et maire PS de cette commune du Val-de-Marne. 

4807,70 euros concernés

Selon le site d'investigation, Jean-Jacques Bridey, l'un des premiers soutiens d'Emmanuel Macron note BFMTV, se serait fait rembourser deux fois, par la Semaf et par la commune, certaines de ses notes de frais du restaurant À la marée, situé au marché international de Rungis. Montant total des frais remboursés ? 4807,70 euros dont 3975,90 euros en 2016 et 831,80 euros en 2017, selon Mediapart. En tout, 25 repas seraient concernés en 2016, une petite dizaine en 2017.  

Interrogé par le site d'information, le député LREM a expliqué qu'il "demandait des doublons des tickets adressés à la mairie et conservait le deuxième document "avec ses autres justificatifs de frais". "Il est alors peut-être arrivé que je transmette ces justificatifs en même temps que les notes de frais Semaf" a commenté l'élu qui a reconnu s'être peut-être trompé sur "quelques doublons".

"Une escroquerie"

Interrogé par Le Parisien, l'élu minimise. "On ne va pas en faire un fromage", a-t-il déclaré avant d'assurer qu'il allait "rembourser" ces notes de frais. Et d'ajouter qu'il ne s'agit que d'une "simple erreur d'inattention sur quelques doublons". 

Du côté de la mairie, l'affaire pourrait se poursuivre devant les tribunaux. La maire (PS) de Fresnes, Marie-Chavanon a dénoncé "une escroquerie" dans les colonnes du Parisien, assurant que l'affaire "ne va pas en rester là". 

Publicité
Publicité
<< < 1 2 3 4 > >>
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 335
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité