on devient un pays du tiers monde
En hausse depuis dix ans, la part des personnes de nationalité étrangère parmi celles qui sont accueillies était de 50% l'an dernier.
ben il faut stopper net l immigration deja.
ps je suis pour le revenu universel tant que l'argent de la redistribution social reste en France(logement pris en charge bon de nourriture)
Politique, en partenariat avec slate.fr et son fondateur Jean-Marie Colombani revient sur le rapport du Secours Catholique : moins de 5 euros, c’est ce qu’il reste par jour pour la moitié des personnes accueillies par l’association. Celles en situation d’extrême pauvreté augmentent également.
https://www.francebleu.fr/infos/economie-social/la-moitie-des-personnes-aidees-par-le-secours-catholique-vivent-avec-moins-de-550-eu-par-mois-1668659303
Près de la moitié des ménages qui ont sollicité l'aide du Secours catholique en 2021 en France disposent d'un budget insuffisant pour se nourrir au quotidien. C'est le constat fait par l'association et révélé dans son rapport annuel sur la pauvreté, publié ce jeudi. Le revenu médian des personnes aidées par le Secours catholique s'établit à 548 euros par mois, ce qui veut dire que la moitié d'entre elles doivent faire avec une somme inférieure à ce montant.
>Moins de 5 euros par jour
"Ces personnes ne vivent pas, elles survivent, elles sont en permanence en train de calculer", commente Véronique Devise, présidente du Secours catholique. Les bénéficiaires de l'association ont peu de marge de manœuvre. La moindre augmentation ou dépense imprévue peut avoir des conséquences désastreuses. Car les frais "obligatoires" (le loyer, les charges, les assurances) absorbent déjà en moyenne près de 60 % du revenu des personnes précaires. C'est même parfois plus, pour les femmes seules par exemple.
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Si l'on tient compte d'autres dépenses "quasi incompressibles" (remboursement de dettes, frais de transport), près de la moitié des ménages accueillis par le Secours catholique disposent d'un reste à vivre de moins de cinq euros par jour et par personne, soit 0,5 à un euro de moins par rapport à la période d'avant la crise sanitaire. "Avec cela, il faut acheter à manger, des produits d'hygiène, s'habiller", décrit dans son rapport l'association, qui estime la dépense minimale alimentaire à sept euros par jour et par personne. 48 % des bénéficiaires sont donc dans l’incapacité de couvrir leur dépense alimentaire quotidienne, c'est 3 points de plus qu'il y a deux ans.