inutile et couteux puisque le probleme d ela délinquance c est le systeme judiciaire ubuesque il vaut mieux investir dans la construction de prisons low cost
ca couterait mille fois moins cher et serait 100 fois plus efficace
bref ce mec est nul et incompetent la délinquance ne baissera pas d'un iota
Tous ces délinquants créent le vide autour d'eux en faisant fuir les quelques personnes correctes qui n'en peuvent plus de vivre cette insécurité au quotidien, et ces gens-là sont évidemment remplacés par les potes des délinquants. C'est ça la mécanique infernale qui génèrent ces cités de non droit, de violence et pas la pauvreté. J'ai connu les Mureaux comme une résidence haut de gamme avant qu'elle ne soient colonisée. Il faut arrêter cette mansuétude de gauche caviar et sévir pour de bon.
Darmanin, c'est ton fief ! L'avais-tu bien géré ?
serait temps de passer à une vrai répression qu on tire a balle reelle sur ses racailles de merde qui puent
et la 1er chose à faire c est une reforme totale du systeme judiciaire ubuesque complicve de ces racailles : trop de juges et avocaillons gratte papelards pas assez de bagnes et prisons low costs
tolérance zero pour les racailels et tolérance zero pour les jugeotes et avocaillons complices des racailles
Des violences urbaines ont eu lieu dimanche soir à Tourcoing (Nord) pour le deuxième soir consécutif, sans faire de blessé, a-t-on appris auprès de la préfecture et de source policière.
Après une soirée marquée samedi par des jets de projectiles sur les forces de l'ordre à la suite d'une intervention pour un rodéo dans le quartier Croix Rouge, la préfecture a indiqué dimanche soir que des "incidents" étaient toujours en cours vers minuit, avec à nouveau des jets de projectiles, sans déplorer de blessé.
Le directeur zonal de la sécurité publique dans les Hauts-de-France, Jean-François Papineau, a fait état d'une "agitation d'une plus grande ampleur (que samedi, ndlr) de la part de quelques groupes d'individus", ajoutant que la situation était "maîtrisée par le dispositif policier sur place".
Des renforts policiers ont été envoyés dans la quartier Bourgogne de Tourcoing en début de soirée, selon des sources syndicales.
Lors des troubles de samedi, "deux individus ont été placés en garde à vue vers 19H à la suite d'un rodéo motorisé", a indiqué à l'AFP la procureur de la République à Lille, Carole Etienne.
Après ce rodéo, vers 23H, les policiers sont intervenus "pour un feu de véhicule positionné en milieu de chaussée et ont été la cible de jets de mortiers et de pierres" et un autre individu, mineur, a alors été interpellé, a poursuivi Mme Etienne. Il doit être déféré lundi devant le juge des enfants.
Des "tentatives d'agitation" ont également eu lieu samedi dans le quartier de Lille Moulins, avec des tirs de mortiers d'artifices, selon M. Papineau.
"La lutte contre le trafic de stupéfiants dans les quartiers s'est intensifiée depuis sept ou huit mois, ce qui fait monter les tensions, qui s'expriment à la tombée du jour", a-t-il souligné.
"Les violences urbaines, cela n'arrête pas, un peu partout dans les Hauts-de-France", a déploré Arnaud Boutelier, secrétaire régional du syndicat de police Alliance dans les Hauts-de-France.
il va falloir vraiement faire une opération mains propres et commencer à licencier avec interdiction d'exercer à vie pour tous ces jugeotes collabos à racailles
je sens qu un jour ca va mal finir dans ce pays et certaines jugeotes vont de retrouver pendu haut et cour apres avoir été tondu
Policiers brûlés à Viry-Châtillon: le verdict en appel suscite la "colère" des policiers
La voiture de police incendiée en octobre 2016 à Viry-Châtilllon ( AFP / "Incompréhensible", "choquant" et "inquiétant": le verdict, plus clément qu'en première instance et rendu sous haute tension, dans le procès en appel de la violente agression de policiers à Viry-Châtillon (Essonne) en 2016 a suscité dimanche l'indignation de plusieurs syndicats de policiers.
Dans la nuit de samedi à dimanche, la cour d'assises des mineurs de Paris a condamné en appel cinq jeunes à des peines allant de 6 à 18 ans de réclusion criminelle et en a acquitté huit autres.
La lecture du verdict a été interrompue par une bagarre générale dans le box des accusés, nécessitant l'intervention d'une trentaine de policiers et gendarmes. Les heurts se sont ensuite étendus dans la salle d'audience, où étaient présentes les familles des accusés.
Ce verdict "est incompréhensible et laisse les victimes et de nombreux policiers très amers et en colère", a réagi le syndicat Unité SGP Police, partie civile.
Après cette décision "écœurante et inquiétante, qui va laisser des traces, les violences, les jets de cocktails Molotov, les tirs de mortiers vont continuer", a pour sa part regretté Guillaume Roux secrétaire départemental de l'Essonne du syndicat Unité SGP Police-FO.
Pour Claude Carillo, son homologue du syndicat Alliance, qui appelle à des rassemblements mardi devant tous les tribunaux de France, il s'agit également d'un "verdict choquant".
A l'issue de 14 heures de délibération et six semaines d'audience à huis clos, les cinq condamnés ont été reconnus coupables de tentative de meurtre sur personnes dépositaires de l'autorité publique.
Trois d'entre eux ont été condamnés à 18 ans de prison, un à 8 ans de prison, et le dernier à 6 ans. Ils encouraient la réclusion criminelle à perpétuité. Les huit autres accusés ont été acquittés.
"Nous venons d'assister à un naufrage judiciaire (...) alors que l'on sait qu'il y avait 16 assaillants, on se retrouve avec cinq condamnations", a dénoncé Me Thibault de Montbrial, avocat de l'une des victimes qu'il a décrite comme "effondrée" par ce verdict en appel.
"C'est un naufrage car au moment du verdict, le naturel a repris le dessus, une bagarre générale a éclaté", a-t-il ajouté.
Au contraire des parties civiles, l'une des avocates de la défense, Sarah Mauger-Poliak, qui a annoncé son intention de porter plainte pour "faux en écriture publique" contre des enquêteurs, a salué "un soulagement pour la défense", et un "démenti cinglant de l'enquête".
"C'est la fin du cauchemar judiciaire pour mon client", déjà acquitté en première instance, a pour sa part déclaré Me Arnaud Simonard. Avec d'autres avocats de la défense, ils dénoncent une enquête marquée par de "graves irrégularités".
>- "Niquer des keufs"
Au premier procès, huit jeunes avaient été reconnus coupables et condamnés à des peines allant de 10 à 20 ans de prison. Cinq autres avaient été acquittés.
Dimanche, la cour n'a pas suivi les réquisitions de l'avocat général qui avait demandé mardi un acquittement et des peines de 12 à 25 ans de réclusion criminelle pour les 12 autres accusés, âgés aujourd'hui de 21 à 26 ans.
Les 13 jeunes, âgés de 16 à 21 ans au moment des faits, étaient accusés d'avoir fait partie de la vingtaine de personnes encagoulées qui, le 8 octobre 2016, avaient pris d'assaut en pleine journée deux voitures de police stationnées à proximité du quartier de la Grande Borne,vaste cité d'habitat social considérée comme l'une des plus sensibles d'Île-de-France.
En quelques secondes, ils avaient brisé les vitres et jeté des cocktails Molotov dans les habitacles.
Dans une première voiture, un adjoint de sécurité de 28 ans et une gardienne de la paix de 39 ans avaient pris feu.
Le pronostic vital de l'adjoint avait été un temps engagé et il avait été plongé dans le coma pendant plusieurs semaines. Plus de quatre ans après les faits, il porte encore les marques de l'agression sur son visage.
Me Thibault de Montbrial, conseil de l'une des victimes, arrive au palais de justice de Paris le 2 mars 2021 pour le procès en appel de 13 jeunes accusés d'avoir blessé quatre policiers en leur jetant des cocktails Molotov en 2016 ( AFP / Bertrand GUAY )
Deux autres agents avaient été blessés plus légèrement.
"Ces policiers qui étaient dans les voitures, on leur crache à la figure après les avoir brûlés une première fois", a dénoncé à la sortie de l'audience Me Laurent-Franck Lienard, avocat de deux des policiers.
Contacté par l'AFP, Jean-Marie Vilain, maire UDI de Viry-Chatillon, s'est dit "en colère et indigné" car "ces sanctions sont très loin de ce qu'on pouvait attendre" alors que des policiers sont aujourd'hui "traumatisés dans leur chair".( ben bibiche tu nas qu a dire a ton parti que ces députes demandent un referemdum sur le systeme judiciaire avec une refonte totale et complete de ce systeme ubuesque qui ne marche plus)
Les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous sur la rive-droite de Bordeaux, habitués à se retrouver dans les locaux techniques pour fumer des joints et boire de l’alcool.
Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant.
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelaise
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelaise
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelais
Le sexagénaire avait été retrouvé inanimé avec d'importantes blessures à la tête, vraisemblablement causées par un tiers, relève la presse locale, selon laquelle les enquêteurs ont suivi la piste d’un groupe de jeunes squatteurs, sans emploi et résidant tous rive droite à Bordeaux, qui avaient l'habitude de se retrouver dans les locaux techniques pour fumer du cannabis et boire de l’alcool. «Ils se seraient attaqués au retraité et l’auraient roué de coups de pied, après une simple réflexion, avant de l’abandonner mourant», précise l'antenne bordelais
pourquoi l'etat? le seul responsable c'est le ministre de la justice de l'epoque
il est vital de rendre penalement responsable les juges des actes de leur petit proteger
apres tout un ingenieur peut etre poursuivi en cas de négligence et ben ca doit etre pareil pour les juges et avocats et pshychiatre
Un homme était incarcéré à la prison de Lyon-Corbas, où il purgeait une peine de 4 ans pour agression sexuelle et séquestration. Il était potentiellement libérable au plus tôt en novembre dernier mais il a été remis en liberté avant, en avril 2020. La raison? Le taux d’occupation de la prison était de 130%. Et il fallait qu’il soit réduit «afin de limiter les conséquences d’une éventuelle propagation du virus au sein de l'établissement pénitentiaire», avait tranché un juge d’application des peines. Mais six mois plus tard, en Isère, ce détenu libéré aurait violé une adolescente de 17 ans.
C’est l’avocat de la victime qui a décrit et dénoncé cette situation lundi, relate France Bleu. Selon lui, cette décision du juge d’application des peines a été prise sans débat contradictoire, comme cela aurait dû être le cas. «Pire, dans cette décision il est clairement indiqué que le risque de récidive n’était pas exclu, que le prévenu présentait également des tendances au passage à l’acte hétéro-agressif et que sa détention était émaillée de quatre incidents», a lancé l’avocat de la victime, Me Fabien Rajon.
Accompagné des parents de l’adolescente, l’avocat a annoncé qu’il allait intenter un recours contre l’État pour faute lourde pour ce qu’il estime être «un scandale judiciaire».
En attendant la suite de la procédure, le violeur présumé a été interpellé et placé en détention provisoire. Il est mis en examen pour «viol sur mineur de plus de quinze ans» et «menaces de mort».
deja il faut rendre pénalement responsable les juges et avocats pour leur petits protegers
Le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti le 1er mars 2021 à Paris ( AFP / Bertrand GUAY )
Audiences filmées, encadrement des enquêtes préliminaires, généralisation des cours criminelles... Le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti présente mercredi en Conseil des ministres un projet de loi visant à "restaurer la confiance" dans la justice déjà très critiqué par magistrats et avocats.
Le ministre s'exprimera à l'issue du Conseil des ministres, aux côtés du porte-parole du gouvernement Gabriel Attal, a fait savoir l'Elysée.
Son projet de réforme sera examiné par les députés en première lecture à partir du 17 mai, selon l'ordre du jour fixé mardi en conférence des présidents de l'Assemblée nationale.
Le texte présenté par l'ancien avocat Dupond-Moretti se fonde sur "un constat assez saisissant": la défiance des Français dans leur institution judiciaire, a expliqué la Chancellerie, citant notamment un sondage de février qui montre qu'"un Français sur deux" n'a pas confiance en la justice.
Parmi les principaux points de ce projet de loi figurent la possibilité de filmer et de diffuser les audiences à la télévision, et l'encadrement des enquêtes préliminaires qui ne pourront durer plus de deux ans (trois sur autorisation du procureur) et auxquelles les personnes visées pourront avoir plus facilement accès.
Le projet prévoit également, sans attendre la fin de l'expérimentation prévue pour 2022, de généraliser les cours criminelles départementales, composées de cinq magistrats professionnels, sans jury populaire ( AFP / JACQUES DEMARTHON )
Le projet prévoit également, sans attendre la fin de l'expérimentation prévue pour 2022, de généraliser les cours criminelles départementales, composées de cinq magistrats professionnels, sans jury populaire.
Mises en place pour désengorger les cours d'assises, elles jugent en première instance des crimes punis de quinze ou vingt ans de réclusion, majoritairement des viols.
Les cours criminelles créent un débat au sein de la magistrature depuis le lancement de l'expérimentation en 2019. Des avocats pénalistes ont accusé le garde des Sceaux de "détruire la justice populaire" en les généralisant.
Alors encore avocat, Eric Dupond-Moretti avait vertement critiqué leur expérimentation: "C'est la mort de la cour d'assises!", s'était-il insurgé en mai 2020.
"Je ne renie rien de ce que j'ai dit", a affirmé le ministre mercredi sur FranceInfo, disant ne pas "(comprendre) cette polémique".
"Depuis que je suis devenu ministre, j'ai eu des assurances, notamment de la part de notre président de la République, qui est très attaché au jury populaire, comme je le suis moi-même", a-t-il ajouté.
Eric Dupond-Moretti veut également supprimer les crédits "automatiques" de réductions de peine des détenus qui ne seraient désormais plus accordés qu'au mérite. Une mesure "populiste", ont dénoncé des avocats et des magistrats.
Le ministre souhaite encore encourager le recours au bracelet électronique comme alternative à la détention provisoire.
Son projet a reçu un accueil glacial du monde judiciaire qui voit dans certaines dispositions des mesures de "défiance" envers les magistrats et s'alarme de la "réforme permanente" de la justice.
Dénonçant par ailleurs une "absence de concertation" sur un projet de réforme déjà ficelé, les organisations syndicales ont boycotté fin mars, à la quasi-unanimité, des réunions avec la Chancellerie.
Les trois syndicats de magistrats, qui ont par ailleurs porté plainte contre le ministre devant la Cour de justice de la République, entretiennent avec lui des relations catastrophiques depuis son arrivée place Vendôme.
deja dit 1000 fois le probleme c'est le systeme judiciaire ubuesque et ultra laxiste
commencons par virer a coup de pompe au cul les jugeotes gratte papelard laxistes et avec l argent economisé construisons prisons low cost pour enfermer racailles
trop de juges trop d'avocat gratte papiers pas assez de bagnes et prisons low cost
quand al acour europeenne des doigts d el homme on sort d el europe avec le frexite et on leur pisse à la raie
Plus aucun coin de France n'est épargné par le crime et la délinquance.. En 2012, le Figaro avait publié une étude indiquant que le coût annuel de l'insécurité était de 150 milliards d'Euro. Il est clair qu'il a considérablement augmenté en 2021.. Les rares cas où les policiers font preuve de sévérité ,c'est pour emprisonner un petit propriétaire qui a essayé de récupérer son bien qui est squatté et vandalisé..
en meme temps vu le systeme judiciaire ultra laxiste que l on a ils risquent pas grand chose les racailles voleuses
Selon l'Observatoire des vols Coyote Secure, un véhicule a été volé toutes les quatre minutes l'an dernier.
121.500 : c'est le nombre de véhicules qui ont été volés en France en 2020, révèle une étude de l'Observatoire des vols Coyote Secure, relayée par Le Figaro mercredi 24 mars. Un véhicule est volé toutes les quatre minutes dans l'Hexagone souligne l'Observatoire qui a compilé ses propres données issues de la récupération de véhicules volés disposant d'un système Traqueur avec celles provenant du ministère de l'Intérieur et du GIE des assureurs Argos.
Sur l'année, cela représente une baisse de 13% par rapport à 2019 . Une baisse qui est toutefois à relativiser, souligne l'Observatoire. En effet, les vols ont fortement diminué (48%) durant les deux périodes de confinement, mais ont fortement augmenté lors de la levée de ces restrictions. En septembre, les vols ont ainsi bondi de 70%.
Près de 50% des vols sont enregistrés dans trois régions : l'Île-de-France, Provence-Alpes-Côte d'Azur et Auvergne-Rhône-Alpes , souligne aussi l'Observatoire. Les Hauts-de-France enregistrent également un taux de vols important.
Les véhicules les plus volés sont ceux qui connaissent le plus fort engouement sur le marché du neuf : les SUV représentent ainsi 46% des véhicules volés . 67% des SUV volés sont de marques françaises, révèle également l'étude. Toutes les catégories de véhicules sont toutefois concernées, notamment les citadines grand-public, prisées pour leurs pièces détachées, indique l'Observatoire.
deja dit vue le systeme judiciaire ubuesque et ultra laxiste que l on a c a n a rien d'étonnant
il faut construire prisons low cost et virer les juges laxistes
Supermarché vandalisé, station-service incendiée: le chef-lieu du Loir-et-Cher a été, dans la nuit de mardi à mercredi, le théâtre de violences urbaines inhabituelles qui ont éclaté après "un refus d'obtempérer" lors d'un contrôle de la Brigade anticriminalité.
projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste