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projet pour la france
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1 décembre 2022

Sondage : 71 % des Français favorables à la suppression des aides sociales pour les familles de délinquants

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29 novembre 2022

EMEUTES A BRUXELLES POURTANT LES BELGES N'ONT JAMAIS COLONISÉ LE MAROC S

28 novembre 2022

Racket au marché à Mantes-la-Jolie : début du procès ce lundi

bienfait de l'immigration

>Ce lundi 28 novembre, douze personnes, dont un élu, sont jugés à Versailles, accusés d'avoir mis en place ou contribué à un racket de grande ampleur.

C'est l'affaire de racket sur l'un des marchés les plus importants de la région parisienne, à Mantes-La-Jolie. Huit hommes, dont un élu et quatre placiers au moment des faits, sont jugés à partir de ce lundi 28 novembre à Versailles. Ces prévenus, âgés de 32 à 44 ans, sont accusés d'avoir mis en place ou contribué à un racket de grande ampleur.

D'après l'accusation, le système reposait sur l'exigence de pourboires systématiques en échange d'un emplacement sur le vaste marché du quartier populaire du Val-Fourré, à une soixantaine de kilomètres à l'ouest de Paris. Outre des pourboires "quotidiens" permettant de "doubler la redevance", le prix même d'une place a pu monter jusqu'à 12.000 euros.

Les placiers, qui ont contesté les faits devant la juge d'instruction, comparaîtront notamment pour extorsion, un délit passible de sept ans d'emprisonnement. Trois d'entre eux seront aussi jugés pour blanchiment, les enquêteurs ayant mis au jour des transferts d'argent à Dubaï, Madagascar et au Maroc.

"Mon client n'a pas bénéficié d'une instruction équitable", a assuré à l'AFP Me Frédéric Landon, avocat de l'un des placiers. "La juge a refusé de le confronter aux commerçants entendus sous X qui le mettent en cause", a-t-il fait valoir.avant les avocats défendaient la veuve et l orphelin maintenant ils defendent les racailles et trafiquants de drogue !!!!

Les nombreux témoignages de commerçants, faisant "allusion à une mafia, à la terreur qui règne" ont été majoritairement recueillis sous couvert de l'anonymat "par craintes de représailles", selon l'ordonnance de renvoi consultée par l'AFP, qui évoque un système basé sur "une omerta (...) efficace". Des camions de commerçants ont été incendiés au cours de l'enquête. Trois hommes seront jugés pour ces destructions.

De son côté, Sidi El Haimer, alors premier adjoint à la mairie, est accusé d'avoir fait pression sur une commerçante ayant témoigné en lui envoyant des placiers pour l'amener à se rétracter. Celui qui fut ensuite maire par interim quelques mois en 2022, sera jugé pour "subornation de témoin" et risque jusqu'à trois ans d'emprisonnement. Sidi El Haimer "place toute sa confiance en l'autorité judiciaire de jugement pour révéler, enfin, son innocence et laver son honneur", a assuré à l'AFP son avocat Alexandre Simonin.

Au cours de l'enquête, l'ancien maire de Mantes-La-Jolie et actuel président LR du Conseil départemental, Pierre Bédier, avait été entendu mais pas mis en cause. Des lettres anonymes pointaient sa potentielle implication, tandis que le président de la société Mandon - qui a repris la gestion du marché en avril 2018 et est partie civile dans ce dossier - a affirmé, notamment dans des interceptions téléphoniques, s'être vu imposer par Pierre Bédier l'embauche des placiers.

La mairie est aussi partie civile. "On espère que ce procès répare le préjudice d'image de la ville de Mantes-La-Jolie, qu'on ramène toujours à des histoires de magouilles", a déclaré à l'AFP l'actuel édile, Raphaël Cognet (LR).

27 novembre 2022

Insécurité à Paris : sur la ligne 2, entre Gare du Nord et Stalingrad, “on est certain de tomber sur un trafic”

https://www.fdesouche.com/2022/11/27/insecurite-a-paris-sur-la-ligne-2-entre-gare-du-nord-et-stalingrad-on-est-certain-de-tomber-sur-un-trafic/

elle en pense quoi la reine des rats madame moins de  3% aux elections présidentielles

De retour à la surface, un habitué de la ligne 2 dénonce les trafics en tout genre qu’il observe chaque jour aux abords de la station. « Drogues, cigarettes de contrebande, j’ai même vu des faux tickets, c’est impressionnant. Les vendeurs de cigarettes sont même installés à l’intérieur de la station. À La Chapelle, on est certain de tomber sur un trafic. »

24 novembre 2022

Faillite de FTX: des millions de dollars utilisés pour acheter des maisons aux Bahamas

perso je n 'aime pas trop le pigeon à la vaseline

des le départ on savait que ca allait finir comme cela mais bon les pigeons c'est assez obtus et aveugles

https://www.bfmtv.com/crypto/faillite-de-ftx-des-millions-de-dollars-utilises-pour-acheter-des-maisons-aux-bahamas_AV-202211220504.html

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23 novembre 2022

eelv pas un parti politique juste un asile de dingos

Lyon : les parents sont inquiets de la présence de prostituées, de dealers et de toxicomane près des terrains de jeu pour enfants. La mairie EELV réagit en proposant un brise-vue végétalisé.

https://twitter.com/i/status/1595304622952165378

23 novembre 2022

justice complice des racailles

c 'est pour cela qu'il faut la reformer de la tete au pied. supprimer l'indépendance de la justice pour la délinquance, changer les methodes de recrutement,donner plus de poid aux victimes ( choix des tribunaux), confier la gestion de la paperasserie à des societes privées

trop d'avocaillons et de jugeottes grattes papelards pas assez de bagnes et prisons low cost

https://www.fdesouche.com/2022/11/23/lille-59-un-jeune-homme-de-23-ans-tabasse-a-mort-a-coups-de-crosse-a-son-domicile-et-devant-sa-mere/

(…) Kamel El Jarrari (…) 25 ans était le principal accusé d’un procès d’assises qui, pendant sept jours à Douai, a examiné les circonstances de la mort de Jason, 23 ans, frappé d’un coup de crosse à la tempe, le 27 mai 2018, en pleine nuit chez lui, impasse des Rameaux à Lille-Hellemmes. Une expédition punitive qui s’était trompée de cible.

Kamel El Jarrari a été condamné pour violence ayant entraîné la mort sans intention de la donner, à douze ans de réclusion criminelle. La préméditation n’a pas été retenue. L’avocate générale Marine Decourcelle avait requis quinze ans. (…)

Les avocats des cinq coaccusés Isaac M., 24 ans, Bilail C., 25 ans, Idrissa T., 23 ans, Yassine K., 22 ans, et Yassine H., 22 ans, jugés pour association de malfaiteurs du fait de leur présence à l’expédition punitive ont obtenu des peines mixtes sans mandat de dépôt. Pour Me Manon Dugast en partie civile : « Pour la famille de Jason, une chaise restera vide et ça n’a pas de prix ».

21 novembre 2022

Nouveau week-end de violences à Mayotte, envoi d'une unité du Raid

https://www.fdesouche.com/2022/11/27/mayotte-caillassages-barrages-machettes-menaces-de-mort-prises-dotage-un-quotidien-devenu-difficile-pour-les-chauffeurs-de-bus-scolaires/

>Mayotte frappée par des violences, avec des attaques à la machette, des barrages et des incendies, le 21 novembre 2022 ( AFP / Gregoire MEROT )

Les tensions entre jeunes de quartiers rivaux causées par le meurtre d'un jeune homme la semaine dernière ont persisté lundi à Mayotte, après un week-end de violences marqué par des attaques à la machette, des barrages et des incendies.

En soirée, les forces de l'ordre ont signalé de l'agitation au nord de l'agglomération de Mamoudzou, entre Kawéni et Majikavo, alors que des bandes des deux villages étaient déterminées à en découdre. Les élèves du secteur ont d'abord été confinés dans les collèges et lycées avant de rentrer à pied, faute de bus.

Le ramassage scolaire, arrêté depuis mercredi dernier dans l'île, devrait reprendre mardi mais ne desservira aucun des deux villages, a-t-on appris à l'issue d'une réunion entre le département et le syndicat des conducteurs de bus.

Le chef-lieu de Mayotte est secoué depuis une dizaine de jours par des conflits inter-quartiers qui ont fait un mort le 12 novembre, un jeune de 20 ans tué à la machette, et plusieurs blessés.

Le quartier de Kawéni, d'où était originaire la victime, s'est embrasé mercredi et jeudi derniers après l'attaque d'un bus scolaire. Samedi, 200 à 250 jeunes issus de ce quartier se sont réunis pour en découdre avec ceux du quartier de Doujani, plus au sud, selon la police.

Dimanche, un automobiliste a été poignardé à Mtsapéré Bonovo, un autre quartier de Mamoudzou, selon une source policière. "Son pronostic vital est engagé", a précisé une autre source policière.

>- "Traumatisé" -

Les affrontements ont donné lieu à des "jets de projectiles" sur les forces de l'ordre, des "dégradations de véhicules et de commerces", des "coupures de tuyaux d'alimentation d'eau" et l'incendie d'une casse automobile, selon la première source.

 

"Des habitants se sont armés de barres de fer et machettes pour se défendre contre les bandes", a-t-elle ajouté.

Des barricades ont été dressées, selon l'autre source policière.

Il n'y a eu aucune interpellation.

À Mtaspéré Mro Handra, où les jeunes de Kawéni ont voulu tendre un piège à leurs rivaux de Doujani, Mustapha, 50 ans, ne veut pas croire ce qui s'est passé la veille.

"Je n'ai pas encore dormi, je suis traumatisé. Je n'ai jamais vu autant de violence et pourtant, je me suis déjà fait agresser tellement de fois", se désole-t-il, découvrant son dos pour laisser apparaître de nombreuses traces de coups de machette.

Les jeunes venus en découdre "étaient des dizaines, peut-être des centaines, avec des machettes", décrit-il.

"Ils ont mis le feu au garage, il y avait tout qui brûlait de partout, on étouffait, on ne voyait plus rien, on voyait juste que ça courait dans tous les sens, ça criait et puis les policiers qui tiraient leurs grenades", raconte-t-il encore.

Autour de lui, voitures calcinées, pierres et cartouches de gaz lacrymogène par centaines jonchent le sol, témoignant de la violence de la scène.

>- "Guerre civile" -

"La différence avec d'habitude, c'est que les violences n'étaient pas à un endroit fixe, ce week-end, Mamoudzou brûlait de partout", raconte Abdel Aziz Sakhi, secrétaire zonal du syndicat Alternative police, qui était sur le terrain ce week-end.

Ainsi à Cavani, un bourg du sud de Mamoudzou.

"Les jeunes étaient une centaine à nous faire face, à frotter leurs machettes sur le sol pour montrer qu'ils voulaient en découdre avec nous. Ils ont attaqué, on a dû se replier... Ensuite, on n'a pas eu d'autre choix que de forcer le barrage, de foncer avec nos véhicules pour les disperser", livre le policier "complètement crevé".

"Entre eux, il y a sûrement des blessés, voire des morts mais on ne peut pas le savoir, ils ne viennent pas nous voir pour nous le signaler", dit-il.

"C'est ingérable, ce n'est plus possible de subir comme ça. On n'est plus dans des violences urbaines mais dans de la guérilla", poursuit le syndicaliste, qui réclame le déploiement permanent d'une compagnie de CRS sur le territoire.

Une "dizaine de policiers" du Raid, l'unité d'intervention d'élite de la police, va être déployé d'ici à mardi à Mayotte, selon le ministère de l'Intérieur.

Le député Mansour Kamardine a déploré que l'archipel de l'océan Indien "bascule dans la guerre civile" et demandé au gouvernement de "franchir un saut quantitatif et qualitatif en matière de lutte contre l’insécurité".

20 octobre 2022

délinquance dans villes moyennes

délinquance ville moyenne

8 octobre 2022

INSÉCURITÉ à Grenoble : LA RESPONSABILITÉ D'ERIC PIOLLE

 c est partout en France de toute facons responsabilité:

1/ l'immigration

et2/ le systeme judiciaire ubuesque trop de juge gratte papier et pas assez de bagne et prisons low cost

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