Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
projet pour la france
projet pour la france
Derniers commentaires
3 mars 2013

demission de la grosse daubirate

sans reforme totale et complete du systeme judiciaire la delinquance va cointinuer a exploser

le laxisme des juges leur incompetence est la 1er cause de la delinquance

Jeudi dernier, deux policiers, pères de famille, ont été tués sauvagement par un multirécidiviste qui roulait sans permis dans une voiture de luxe.

Tous les médias en ont parlé. Mais ce qu'ils ont oublié de dire, c'est que ce type d'affaire arrive tous les jours.

Prenez le jour qui a suivi le drame, le vendredi 22 février :
- à Nîmes, des policiers de la BAC ont échappé de peu à un bain de sang lors d'une fusillade. Prévenus du comportement suspect de deux individus, les policiers se sont retrouvés face à deux hommes, armés jusqu'aux dents, en plein quartier résidentiel et ont été mis en joue par l'un des malfrats [1].

- à Perpignan, une course-poursuite avec un individu qui essayait de cambrioler une pharmacie aurait pu virer au drame. Le malfaiteur poursuivi a volontairement percuté un véhicule de police dans un premier temps puis carrément foncé sur d'autres policiers qui tentaient de l'intercepter [2].

- à Montpellier, un adolescent de 15 ans (!), bien connu des services de police, fonçait lui aussi au volant d'une voiture sur des policiers. Les malheureux ont à peine eu le temps de se réfugier dans leur voiture. L'adolescent n'a été arrêté que le lendemain au même endroit pour un vol de portable[3]...

Et je ne vous parle pas de ce qui s'est passé dimanche 24 février à Mulhouse, où des adolescents ont cherché à tuer des policiers en leur lançant des cocktails molotovs !

À chaque fois, ces crimes sont commis par des individus « bien connus des services de police », et bien vite relâchés par la justice.

Malamine Traoré, qui conduisait le 4X4 Range Rover qui a tué les deux policiers jeudi dernier, avait déjà été condamné 8 fois par la justice. Mais à chaque fois, ou presque, il a eu droit à un « sursis » ou à une « mise à l'épreuve ».

Chaque jour, les policiers et les gendarmes risquent leur vie à arrêter et à ré-arrêter des multirécidivistes qui ne devraient pas être en liberté.

Mais il n'y a pas que les forces de l'ordre qui sont en première ligne :

Tous les jours en France, on compte :
- 11 000 vols
- 1 780 agressions
- 264 viols et tentatives de viols

Vous avez bien lu : ces exactions ont lieu toutes les 24 heures.

Et savez-vous quelle est la solution proposée par la ministre de la Justice, Christiane Taubira, pour faire cesser ce massacre ?

Elle a demandé :

- que les récidivistes soient sanctionnés moins sévèrement encore, avec la suppression des « peines plancher »
- que les délinquants endurcis soient encore moins souvent envoyés en prison qu'aujourd'hui et bénéficient d'une nouvelle « mise à l'épreuve »
- que les mineurs délinquants récidivistes soient traités de manière encore plus laxiste par la suppression du « tribunal correctionnel pour mineurs »

Alors si, comme moi, vous refusez de telles mesures, merci de participer maintenant à notre grand référendum pour la justice en cliquant ici et, si vous l'avez déjà fait, d'envoyer ce message d'urgence à tous vos contacts.

Nous avons peu de temps : Christiane Taubira est en train de préparer la loi la plus laxiste de ces 40 dernières années et nous devons être des millions à nous y opposer dès maintenant.

Je compte sur vous pour agir en participant à ce grand référendum.(voir site institut justice)

Publicité
Publicité
1 mars 2013

juge complice de trafiquant de drogue

erreur mon oeil il doit etre complice et doit etre licencié pour faute grave

L'erreur de calendrier d'un juge a conduit à relâcher les membres présumés d'un important réseau de drogue du Val-de-Marne.

«Désolant!» La réaction du Syndicat des commissaires de la police nationale ne s'est pas fait attendre. Jeudi, comme l'a révélé RTL, le tribunal correctionnel de Créteil a remis en liberté dix dealers présumés, à la suite d'une erreur de procédure d'un juge d'instruction. Le magistrat a fait une confusion entre deux dates dans le calendrier de sa propre enquête, rendant alors la détention des suspects arbitraire. Et la police ne décolère pas.

Ce dossier était pourtant emblématique du «travail de fourmi» des enquêteurs pour faire tomber un réseau de drogue. Et quel réseau! Une fratrie de Champigny-sur-Marne, qui avait mis en coupe réglée la cité des Boullereaux, considérée alors comme la deuxième plaque tournante du trafic de cannabis dans la région parisienne.

«Bienvenu à Shitland!»

L'un des trafiquants présumés était ...



Lire la suite de l'article sur lefigaro.fr

et pendant ce temps la la grosse daubirate detricote tout ce qu avait fait de bien le nabotsarko ( pour une fois qu il avait fait quelque chose de potable)

Xavier Salvat a rédigé un rapport très critique sur l'expérimentation lancée en janvier 2012 par Nicolas Sarkozy, qui plaçait des «citoyens assesseurs» auprès des juges professionnels.

Par SONYA FAURE
«Lourd», «coûteux», «pas adapté». Le bilan de l’expérimentation des jurés populaires en correctionnelle est très dur : «Presque tous [les acteurs] ont émis l’idée que le prix payé pour "une leçon d’instruction civique approfondie" était bien lourd». Xavier Salvat est avocat général à la Cour de cassation. Avec Didier Boccon-Gibod, premier avocat général, il a rendu, hier soir, à la demande de Christiane Taubira, son rapport très critique sur cette loi voulue par Nicolas Sarkozy et lancée en janvier 2012. Elle introduisait deux «citoyens assesseurs» aux côtés de trois magistrats professionnels, en première instance et en appel, pour le jugement de certains délits passibles d’au moins cinq ans de prison. Sans surprise, la garde des Sceaux annoncera dans quelques jours que l’expérimentation sera abandonnée. Pour Libération, Xavier Salvat revient sur l’expérimentation."

elle ferait mieux de s occuper du jugeoote qui a fait remettre en liberte des dangereux traficants de drogue
les jurées populaire eux n auraient jamais fait preuve d'une telle incompetence!!!!!!!

 

22 février 2013

voila ou conduit l hyperlaxisme de notre systeme judiciaire

projet pour la france ,taubira,justice laxiste,juge,jugeoote,jugeottine,extreme gauche,justice complice avec criminelle,reformons le systeme judiciaire,juge complice a racaille,trafiquant de drogue,racaille,banlieue,police,policier,hollande,ps,ump,sarko,guéant,valls,valls trou de balls,

enfermons les jeunes delinquants dans prisons sans confort ou ils devront bosser de 6h du mat a 21h

et retablissons la peine de mort pour les racailels merdiques ci dessous

Deux policiers parisiens ont été tués jeudi matin quand leur véhicule a été très violemment percuté sur le périphérique par un 4x4 noir qui avait été pris en chasse et dont le conducteur était en état d'ébriété et en défaut de permis de conduire.

Un troisième a été très grièvement blessé et son pronostic vital est engagé, selon une source proche de l'enquête. Les trois hommes sont des fonctionnaires de l'équipe de nuit de la BAC 75. Les deux policiers tués étaient âgés de 32 et 40 ans.

Le choc entre la voiture de police et le 4x4, qui roulait à une "vitesse hallucinante" selon une source proche de l'enquête, s'est produit vers 06H00 sur le périphérique intérieur entre la porte de Clignancourt et la porte de la Chapelle.
[Localisation de l'accident après une course pousuite sur le périphérique le 21 février 2013 à Paris]
Localisation de l'accident après une course pousuite sur le périphérique le 21 février 2013 à Paris

L'homme d'une vingtaine d'années qui conduisait le 4x4, connu des services de police, était en état d'ébriété et "en défaut de permis", a-t-on appris de sources proches de l'enquête. Selon une source proche du dossier, il conduisait avec 1,4 gramme d'alcool par litre de sang (limite 0,5 gramme/litre de sang). En revanche, la nature du défaut de permis, annulation, suspension ou non passage de l'examen n'a pas été précisée. Le chauffard et le passager du véhicule, âgé aussi d'une vingtaine d'années et également sous l'emprise de l'alcool (1,6 gramme/litre de sang), ont été placés en garde à vue.

Selon les premiers éléments de l'enquête, le Land Rover occupé par les deux hommes avait été pris en chasse par une première équipe de la BAC Nuit 75 au niveau de la porte Maillot en raison de multiples infractions au code de la route.

Roulant à vive allure sur le périphérique, les fuyards ont semé cette première équipe avant de percuter, dans des circonstances qui restent à déterminer, une autre voiture de la BAC, une Mondeo, qui avait été alertée. Celle-ci roulait sans doute à faible allure pour tenter de bloquer le 4x4, selon cette source. Le choc entre la voiture de police et le 4x4 a été d'une rare violence comme en témoigne l'état de la voiture des policiers.
[Le 4x4 accidenté après avoir percuté une voiture de police, le 21 février 2013 sur le pérriphérique à Paris]
Le 4x4 accidenté après avoir percuté une voiture de police, le 21 février 2013 sur le pérriphérique à Paris

La circulation a été longuement coupée sur le périphérique intérieur, au niveau de la porte de Chapelle, le temps pour les enquêteurs de faire les constatations.

La brigade criminelle de la police judiciaire parisienne a été chargée de l'enquête.

Le ministre de l'Intérieur, Manuel Valls, "se rendra dans la journée auprès des camarades des policiers tués", a indiqué le porte-parole du ministère. "Le ministre présente ses condoléances aux familles et aux proches des policiers et souhaite que toute la lumière soit faite sur les circonstances exactes de ce drame".
[Des enquêteurs près de la voiture de police accidentée le 21 février 2013 sur le périphérique à Paris]
Des enquêteurs près de la voiture de police accidentée le 21 février 2013 sur le périphérique à Paris

Quant au maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, il a exprimé sa "très vive émotion" et a assuré "l'ensemble des policiers qui servent à Paris, et en particulier les équipes des BAC, de (son) total soutien dans l'exercice difficile de leur métier".

Le 22 septembre 2012, deux personnes, dont un policier, étaient mortes dans un accident de la circulation causé par un chauffard en fuite, à Cannes (Alpes-Maritimes). En avril, un policier de la BAC de Chambéry avait été délibérément renversé par des cambrioleurs en fuite à bord d'une 4x4 après le cambriolage d'un magasin, à Saint-Alban-Leysse (Savoie).

En janvier, c'était un gendarme d'Alençon qui avait été tué par un véhicule, à Pointel (Orne), lors d'une intervention sur un accident. En octobre, un autre militaire avait été tué dans l'arrière-pays niçois, volontairement percuté par un voleur de voitures.

L'homicide involontaire avec des circonstances aggravantes peut être puni d'une peine allant jusqu'à dix ans de prison et 150.000 euros d'amende.

 

Le conducteur de la voiture qui n'aurait pas freiné avant de percuter la voiture de police, selon une source proche de l'enquête, se nomme Malamine Traoré, déjà impliqué dans des vols et petits trafics de stupéfiants. Son passager, Mehdi Bensassou, est inconnu des services de police. Selon les premières informations, ils étaient ivres et le conducteur roulait sans permis.

sinon il y a meme pas six mois j avais dit que ca se reproduirait malgre les aboiment du rocket valls troudeballs
et ben bingo
http://projetfrance2012.canalblog.com/archives/2012/09/22/25158573.html

troudeballs valls ferait bien de fermer sa gueule il s'est tres bien qu il faut s'attaquer au systeme judiciaire ultralaxiste et collabo a racaille pour en finir avec la delinquance des racailles donc soit il ferme sa gueule soit il s'en prend au systme judiciaire qu il faut reformer de la tete au pied

pour le reste aboiement de roquet et larme de crocodile il est aussi inneficace que guéant

19 février 2013

marseille ville vraiement pourrie

marseille valls humour projet pour la france

19 février 2013

Deux ouvriers blessés par balle sur un chantier de rénovation urbaine du 93:

voila ou nous mene le systeme judiciaire vache folle sans controle ultralaxiste

Deux ouvriers blessés par balle sur un chantier de rénovation urbaine du 93:
Deux ouvriers travaillant sur un chantier de rénovation urbaine qui avait déjà suscité des "menaces" dans une cité de Seine-Saint-Denis ont été blessés lundi matin aux jambes par un tireur qui a pris la fuite sur un scooter.

Le tireur "au visage dissimulé", selon une source judiciaire et qui portait un casque, selon une source policière, a fait irruption vers 07H30 dans le local servant de bureau et de salle de restauration pour les ouvriers de ce chantier, situé dans la cité des Poètes à Pierrefitte-sur-Seine (Seine-Saint-Denis).

Il a alors tiré à quatre ou cinq reprises, en visant les jambes de ses cibles, avant de prendre la fuite sur un scooter.

A ce moment-là, trois ouvriers étaient en train de préparer le café dans ce local, situé dans un immeuble neuf construit dans le cadre de la première phase de ce chantier de construction de 440 logements sociaux à la place d'immeubles détruits.

Les deux blessés, âgés d'une cinquantaine d'années, sont le chef du chantier et un conducteur d'engin, selon Ali Gök, directeur général de l'aménageur Coredif. Ils sont blessés à la cuisse pour le premier, tandis que le second a "le fémur fracturé".

Un troisième ouvrier présent sur les lieux l'a échappé de justesse: une balle a traversé son pantalon.

Les trois hommes ont été emmenés par les secours aux urgences de l'hôpital Avicenne de Bobigny, et leurs jours ne sont pas en danger.

Le maire PS de la commune, Michel Fourcade, a fait état de "menaces verbales, des pressions" proférées ces derniers temps à l'encontre des ouvriers du chantier. "On leur disait qu'il fallait qu'ils s'occupent de leurs affaires", a-t-il expliqué. Fin 2012, des personnes avaient aussi tenté de forcer la porte d'entrée du local, et un engin de travaux avait brûlé sur un autre chantier de la ville.

"Dès qu'on a eu connaissance de ces tentatives, on a fait une réunion avec le préfet et ces entreprises pour justement essayer de limiter ce type de situation", a expliqué M. Fourcade.

Racket

Les patrouilles de police avaient par conséquent récemment été renforcées dans le quartier, "d'où ma grande surprise ce matin", a expliqué le maire, qui réclame de longue date un commissariat pour sa commune de 30.000 habitants. "Il y a eu parfois des petites altercations avec des jeunes, mais pas de menace particulière", a pour sa part indiqué M. Gök. "On ne pensait vraiment pas à ce que ça mène à ce que quelqu'un tire à balles réelles".

La première tranche de ce chantier dans la cité des Poètes, qui avait permis de livrer 17 logements neufs, avait été marquée par une affaire de racket: en mars 2011, des personnes qui avaient exigé d'être embauchées comme vigiles sur la construction du premier bâtiment, celui-là même qui abrite le local où a eu lieu la fusillade, avaient été interpellées dans ce cadre.

"Il y avait eu une affaire de racket de la part de sociétés de gardiennage (...) c'est trop tôt de dire aujourd'hui s'il y a un lien ou pas", a avancé M. Gök.

Une balle a été retrouvée sur les lieux, mais aucune douille, ce qui laisse penser que l'arme utilisée est un revolver, selon la source policière proche de l'enquête.

Le Service départemental de la police judiciaire (SDPJ) est saisi de l'enquête. La police technique a effectué des relevés et une enquête de voisinage a débuté dans les immeubles et pavillons alentour. L'enquête devrait également exploiter les images des deux caméras de vidéoprotection qui surplombent la porte d'entrée du local.

Publicité
Publicité
13 février 2013

Policiers de la bac frappés et encerclés lors d’un contrôle à Avignon C’est un véritable piège dans lequel les policiers de la

vivement marine au pouvoir que cela cesse

Policiers de la bac frappés et encerclés lors d’un contrôle à Avignon

C’est un véritable piège dans lequel les policiers de la bac (Brigade anti-criminalité) d’Avignon ont été pris vendredi en début de soirée avenue Richelieu à Avignon, au cœur de la zone de sécurité prioritaire.

Vers 20 h, trois policiers en patrouille décident de contrôler les occupants d’un véhicule qui leur paraît suspect. En s’approchant, ils reconnaissant une forte odeur de produit stupéfiant. Les quatre individus à bord s’opposent au contrôle et très vite, les policiers sont pris à parti.

Des coups partent, un policier est atteint au visage et les assaillants tentent même de ceinturer les agents qui ripostent. Mais bientôt, une trentaine d’individus sortant de nulle part se regroupent autour des policiers et dégradent le véhicule des forces de l’ordre. [...]

http://www.midilibre.fr/2013/02/11/poli ... 642747.php

9 février 2013

les malchances pour la france

http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/alpes-maritimes-des-parpaings-sur-la-route-pour-braquer-les-conducteurs-7811521.html

Alpes-Maritimes : des parpaings sur la route pour braquer les conducteurs
Mis en ligne le 06 février 2013 à 10h29


Citer:

Un représentant du syndicat de police Alliance, Pascal Beuil, interrogé sur RTL, a évoqué "des jeunes très organisés : il a fallu bloquer la rue, ils étaient armés, cagoulés..." Selon lui, "le mode opératoire, la proximité des dates, montrent que ces jeunes ont voulu imiter, voire dépasser l'attaque du TGV Paris-Nice à Marseille".

 

l immigration est un echec et la france n a plus les moyens d'entretenir se type de racaille donc va falloir tirer dans le tas et en flinguer quelques uns et aussi quelques collabos qui les protegent

en tous cas ne vous etonnez pas quand marine et le fn arrivera au pouvoir messieurs les trousdeballs umps

3 février 2013

tgv attaqué par racaille dans cette ville de merde qu'est marseille

on a qu a leur peter les tibias et les dents ils recommenceront plus ses petites ordures racailleuses arabes

http://www.leparisien.fr/marseille-13000/tgv-attaque-a-marseille-dix-personnes-toujours-en-garde-a-vue-03-02-2013-2535811.php

sinon marseille est une ville de merde rien d'autre

12 janvier 2013

les racailles ca se flinguent et retour au bled

les racailles ca se flinguent et retour au bled pour le reste de la famille avec interdiction de remettre les pieds en france

quand a valls c est juste un troudeballs.com

 

11 janvier 2013

Des familles de dealers expulsées de leur HLM

et ils vont atterir où?

perso je les logerais chez des gaugaus boboides tiers mondiste defenseur des racailles genre les troudeballs d'extreme galuque chez le melenchion for example

Quatre familles de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) vont être expulsées en raison de troubles occasionnés par le trafic de drogue organisé par leurs enfants.

L'affaire est censée être une première. Selon Le Parisien-Aujourd'hui en France, quatre familles de dealers d'une cité de Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) vont être expulsées de leur HLM en raison des troubles occasionnés par le trafic de drogue orchestré localement par leurs enfants. Le voisinage n'en peut plus des menaces et des violences.

Le bailleur HLM a saisi la justice et, après de longues années de procédure, la cour d'appel de Versailles a tranché: les familles seront expulsées après la trêve hivernale. Les magistrats ont parfaitement pointé du doigt «l'enfer quotidien que constitue pour les riverains l'existence d'un trafic de stupéfiants dans l'enceinte même de la résidence».

Troubles de jouissance

Les associations proches de l'extrême gauche s'émeuvent. Le porte-parole de Droit au logement, Jean-Baptiste Eyraud, interroge: est-ce à la famille de «supporter les conséquences de ces délits?» Pour la justice, l'affaire est pourtant limpide: les parents locataires ne pouvaient ignorer l'existence du trafic qui se déroulait jusque dans les appartements. La police a ainsi saisi 1,3 kg de résine de cannabis dans l'un d'eux, le 8 juin 2009.

Pour le député UMP des Alpes-Maritimes Éric Ciotti, à qui l'on doit un dispositif novateur visant à responsabiliser les parents en cas d'absentéisme scolaire, cette mesure judiciaire n'a «rien de choquant dès lors qu'il peut être démontré que les adultes étaient complices et qu'ils n'ont rien fait pour que cesse le trouble».

Plus de 300 demandes d'expulsion sont formulées par les HLM pour «trouble de jouissance» chaque année, mais l'essentiel des milliers d'expulsions ordonnées en France est surtout motivé par les impayés de loyers. Faudrait-il trouver ces dernières normales lorsqu'elles témoignent de la simple précarité et s'offusquer de voir expulser des familles qui pourrissent la vie des quartiers mais paient leurs loyers rubis sur l'ongle, avec de l'argent dont on peut légitimement s'interroger sur la provenance?

Allocations familiales

L'affaire des expulsés des Boulogne-Billancourt tombe à point nommé. Car le débat sur la responsabilisation des parents va rebondir. Dans la nuit de mercredi à jeudi prochain, à l'Assemblée nationale, la gauche se prépare à rayer d'un trait de plume la loi Ciotti sur le contrat de responsabilisation des parents en cas d'absentéisme scolaire.

Ce dispositif intégré à la dernière loi Sarkozy sur la sécurité (dite Lopsi 2), contraignait les parents volontaires à suivre un parcours de formation à l'éducation de leurs enfants et surtout à mieux les surveiller. La suppression temporaire des allocations familiales était prévue comme sanction ultime en cas de démission totale des adultes. Éric Ciotti assure que ce système d'assistance éducative commençait à porter ses fruits et était «salué partout où il était mis en place».

 

Publicité
Publicité
Publicité
Visiteurs
Depuis la création 579 352
Archives
projet pour la france
  • projet pour la france, politique pour la france, make France great again présidentielle : décroissance,zéro immigration,,semaine de 4 jours, moins de vitesse plus de temps libre,sortir de l'agriculture productiviste,en finir avec les juges laxiste
  • Accueil du blog
  • Créer un blog avec CanalBlog
Publicité